Les actions curatives à mener sont de deux ordres :
la remise en état de salubrité du bâti soit la suppression des sources d’humidité, le rétablissement d’une atmosphère ventilée, la dépose des revêtements imperméables pouvant recouvrir parquets, parois…
RAPPEL DE LA RÉGLEMENTATION :
Votée en février 2014, la loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové, dite loi Alur, compte plusieurs mesures phares dont la première vise à favoriser l’accès de tous à un logement digne et abordable.
Publié en mai dernier et intégré dans le code de la construction et de l’habitat, un nouvel article instaure un dispositif de lutte contre la mérule. Reprenant les principes de la réglementation termites, la loi Alur ne rend pas le diagnostic mérule obligatoire mais impose désormais :
POUR LE PROPRIÉTAIRE
La déclaration obligatoire en mairie par les occupants (locataires, propriétaires ou syndics de copropriété si la mérule est située dans les parties communes), dès lors qu’une présence de ce champignon parasite est détectée.